Au secours ! À l'aide ! J'étouffe !
Tout l'après midi, sur RDI, les mêmes nouvelles, en boucle. À toutes les demi-heures le même Charest répétant effrontément que la crise politique qui sévit à Ottawa est la preuve qu'en ces temps d'incertitude, ce qu'il faut, c'est la stabilité d'un gouvernement majoritaire, précisément ce qu'il demande au Québécois et blablabla...
Pus capable !
Je vais éteindre la télé.
Mais ce n'est pas encore assez. L'écoeurement a créé une telle charge d'agressivité... Vous vous imaginez, moi, agressif !? Moi qui fait à peine plus de 30 kilos. Un gros dindon. Je sais pas si c'est à cause de l'Action de grâces, mais c'est justement ce pour quoi nous prend Charest : un troupeau de dindons. Dindons d'une farce qui ne prendra pas fin, comme nous pourrions l'espérer, le 8 décembre.
Farce, vaudeville du cynisme politique
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